« Au Burkina Faso, le mélange
des religions et la fréquence des mariages interconfessionnels provoquent
souvent des disputes au moment du choix des obsèques. Le réalisateur se
remémore celles qui ont émaillé l'enterrement de son père. Acteur et bon
vivant, il en vient à imaginer les siennes et entreprend une quête. Tour à
tour, musulmans, chrétiens et animistes lui disent ce qu'ils lui réservent
comme cérémonial pour marquer son passage sur terre, tandis qu'il manifeste les
désirs les plus saugrenus pour ses obsèques ». Tels est le synopsie
du film documentaire du réalisateur burkinabè Charles-August Koutou.
Un film documentaire de 52 mn réalisé
au Burkina qui fait un regard croisé entre la différence religieuse des
couples. « Ma mort ne m’appartient pas » d’August Koutou passe à l’Institut français le 2 juillet à partir de 20h30.
Bassératou
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